The Elder Scrolls IV : Oblivion sur Xbox 360 Jeu Video

Le 30 mai 2002 sortait The Elder Scroll 3 : Morrowind qui créa un véritable phénomène, suscitant lattention de milliers de joueurs qui en parlent encore aujourdhui avec beaucoup de nostalgie. Après des années dattente insoutenable pour beaucoup, The Elder Scrolls 4 : Oblivion arrive enfin sur notre continent ! Alors, alors, est t-il bien le digne successeur de son grand frère ???

Après une émouvante petite cinématique dintroduction accompagnée dune magnifique musique, le jeu peut quasiment commencer : il est temps de créer notre cher personnage, de le peaufiner dans les moindres détails, car cest vrai, léditeur de personnage est impressionnant de par toutes ses possibilités. Toute la partie de la tête est modelable, des cheveux au menton, en passant par les sourcils et les pommettes, la largeur du nez et des oreilles ou encore les finitions dentaires. Ca lest dailleurs tellement que lon met un temps fou à le faire, et quau final, et bien ça ne ressemble plus guère à grand chose, à moins dêtre doué en chirurgie, fot heureusement il ets possible de choisir des modèles pré-définis. Passée la phase de création du personnage, on peut enfin commencerla partie. On se retrouve alors dans une cellule de la Prison Impériale, vêtu de quelques bouts de chiffons avec des menottes aux poignets par dessus le marché. A peine le temps de se faire aux commandes et dadmirer les graphismes que déjà on nous dérange, et pas nimporte qui. En effet, lEmpereur, escorté par quelques gardes fait irruption dans notre logis. Ces derniers, semblant particulièrement pressés et nayant pas été prévenus de notre présence ici, nous ordonnent de reculer. Mais notre regard croise celui de lEmpereur qui croit nous avoir déjà vu dans lun de ses rêves Plutôt mystérieux toutcela.! Mais que viennent t-ils faire là ? Tout simplement emprunter un passage secret qui était sous nos yeux depuis le début, pour fuir une bande dassassins ayant tué les fils de lEmpereur et s'étant lancés à sa poursuite. Au cours de cette poursuite infernale, lEmpereur se fera finalement assassiner sous nos yeux, et juste avant de mourir, nous livrera une mission de la plus haute importance : retrouver son dernier héritier en vie, gardé secret jusque là. Nous voilà donc embarqué dans une belle histoire, qui prendra de plus en plus dampleur Le sort de Cyrodiil, que dis-je, de tout Tamriel repose donc entre nos mains

Le souterrain de notre évasion est un parfait tutorial pour se faire aux commandes très intuitives et aux différents menus du jeu, très bien pensés pour la manette. Parlons-en dailleurs... Au menu : deux vues possibles, tout comme dans Morrowind : lune à la 3ème personne pas vraiment réussie donnant au personnage limpression de « surfer », et lautre à la 1ère personne qui se trouve être la plus pratique à jouer. Ensuite, un bouton pour sauter, un autre pour sortir/ranger son arme, la pression du stick analogique gauche pour saccroupir et passer en mode discrétion, un bouton pour « porter » divers objets ( =qui sert surtout à jouer avec le moteur physique du jeu, la dernière version du célèbre Havok), lautre pour lancer des sorts, les deux gâchettes pour parer avec un bouclier ou une arme à deux mains, et attaquer, qui donnent aux combats un aspect bien plus dynamique que ne létaient ceux de Morrowind, et pour finir, un bouton pour accéder aux divers menus du jeu. Dans ces menus, classés par pages, elles même classées en sous pages, apparaissent : les caractéristiques et compétences du joueur; linventaire où sont classés tous les objets de toutes sortes (armures, armes, potions, herbes, bijoux, etc...) avec un poids maxi à supporter (pouvant changer en fonction du niveau du joueur, mais aussi des effets des potions et sortilèges); tous les sorts et parchemins; et pour finir, la carte et le journal de quêtes. Cette carte est dailleurs bien réalisée, mais le déplacement avec le stick nest pas très commode, dommage.

Le journal de quêtes est classé en quêtes terminées, quêtes en cours, et quêtes actives. Les quêtes actives déterminent ce que la boussole en bas à gauche de lécran indiquera comme direction(s) à suivre. En bas à gauche de lécran sont aussi indiqués la barre de vie, de mana, et de fatigue, mais aussi larme et le sort sélectionné au préalable, et prêts à lutilisation. Pour en revenir rapidement aux combats, bon nombre de personnes avaient été déçues par le système de combat de Morrowind. Celui dOblivion a été nettement amélioré ( cette fois, on touche nos adversaires à chaque fois quon frappe, si si ! ), et le Havok contribue même à donner un petit coté défoulant plutôt agréable aux combats ( qui débutent dailleurs avec ces bons vieux rats ). On peut aussi ajouter quelques mots sur deux minis-jeux plutôt anecdotiques mais sympathiques malgré tout : le crochetage de serrures et la persuasion. Lun mettant à lépreuve nos réflexes pour ne pas finir sans crochets, lautre permettant de jouer sur nos relations avec les gens ( pour obtenir des informations par exemple ). Bref, passé ce petit temps dadaptation, les commandes deviennent vite instinctives et sont très agréables. Du bon boulot !

Sortis des égouts, nous voilà face à un merveilleux spectacle propre à chacun (moi, cétait une belle nuit étoilée ^^), car oui, le cycle jour/nuit et la gestion de la météo sont évidemment présents. Les graphismes dans toute leur splendeur (surtout en HD) : une distance daffichage impressionnante (sauf les jours de brouillard bien sûr), de très jolies textures (exceptées celles un peu plus lointaines), et une certaine poésie qui se dégage des paysages De plus, les intérieurs sont vraiment très réussis, ainsi que les effets dombres et lumières donnant une atmosphère particulière à chaque grotte, donjon, maison, château, etc... Il ny a pas non plus spécialement de problèmes daliasing. En revanche, on doit malheureusement reconnaître quil y a pas mal de clipping (éléments du décor apparaissant un peu trop tardivement) en extérieur et cest bien dommage ! Et puis, tant quon est dans la section reproches, il faut aussi parler des quelques ralentissements, des chargements, et plus particulièrement des « mini-chargements » en extérieur qui cassent le rythme, pouvant être très courts mais pouvant aussi sétendre sur plusieurs secondes. Cest plus particulièrement énervant à cheval, où le rythme est plus rapide. Voilà les principaux défauts du titre.

Après être sorti des égouts, pendant plusieurs heures durant, on est plutôt désorienté, perdu. En clair, on a tellement de choix quon ne sait pas par quoi commencer, et ce style de jeu ne plaira peut-être pas à certaines personnes qui préfèrent suivre un fil conducteur bien précis. Outre la quête principale nous attend une multitude de quêtes annexes en tous genres. Il suffit découter les conversations, de parler aux gens ou tout simplement de se promener pour en trouver. La région de Cyrodiil sétend sur plus de 40 kilomètres carrés, ce qui promet donc de longues heures de balade et de découverte (sans compter le Néant). De plus, des dizaines et des dizaines de donjons, souterrains, grottes et catacombes sont disséminés un peu partout. Ces derniers ont dailleurs eu droit à un soin tout particulier, puisque désormais, nous avons droit à des pièges de toute sorte rendant la tâche encore plus ardue, ce qui ravira les aventuriers en herbe. Bref, avec tout ça, on ne sait plus où donner de la tête! Mais après un certain temps dadaptation, on se fait à toute cette liberté, qui pouvait paraître déroutante au début.

Côté difficulté, et contrairement à Morrowind, le niveau des ennemis sadapte au nôtre, et de plus, une jauge de difficulté est présente dans les options, permettant ainsi de rendre le challenge plus ou moins difficile. Ainsi, on peut finir le jeu au niveau 2 si on le souhaite. Pour finir, la bande son est elle aussi fabuleuse : quel bonheur de se promener en forêt et dentendre le doux chant des oiseaux allié aux murmures du vent sur les feuilles. De plus, les mélodies sont dune beauté et dune douceur incroyable, mêlant aussi une certaine tristesse, une certaine mélancolie, comme si un âge touchait à sa fin

On peut aussi ajouter un mot sur les fonctionnalités apportées par le Live et pousser un petit coup de gueule au passage : des quêtes, des lieux ou encore des simples skins sont disponibles en téléchargement payant, et personnellement, je trouve cette pratique exagérée et jai bien peur que beaucoup de développeurs ne sengagent dans cette voix. Autant ne plus finir les jeux et mettre en vente le contenu manquant plus tard Mais où va t-on ? Espérons au moins que tous les patchs correctifs seront gratuit eux. Ce serait bien la moindre des choses.

Pour résumer, au niveau des graphismes, on a le droit à un univers immense tout simplement magnifique... Ca pète la rétine! On se surprendra à admirer un lever/coucher de soleil enchanteur On peut juste reprocher un peu trop de clipping et des textures inégales. La durée de vie est elle tout simplement gigantesque. Outre la quête principale déjà imposante, plus de 150 heures de quêtes annexes vous attendent, sans parler des phases de découverte, des nouvelles parties avec un nouveau personnage totalement différent pour renouveler lexpérience, ou encore des nouvelles quêtes, ou mods qui seront disponibles sur le Live dans un avenir proche Tout finir relève presque de limpossible !
De même, la maniabilité a été très bien pensée pour la manette 360 et les combats sont funs et ont même un petit côté FPS fort agréable. Enfin, le son est un autre gros point fort du jeu. Des bruitages et des musiques qui surprennent, correspondant parfaitement à lunivers du jeu.
Déjouer des complots, partir à lattaque dun champ de bataille encore fumant avec laide de coéquipiers, pourfendre du squelette ou tout simplement se promener, se perdre en forêt, découvrir cavernes et ruines renfermant mille trésors, assassiner et voler des pauvres gens, monter vos compétences Voilà une partie de ce qui vous attend alors prenez garde en achetant ce jeu, sachez que votre vie sociale risque den prendre un coup, car cest le genre de jeu où, pour avancer un minimum, il faut y passer plusieurs heures daffilée. Malgré les quelques défauts du titre, la magie opère quand même. Alors, à moins dêtre allergique au genre, passer à côté de cette uvre dart serait un crime.

En conclusion, certes Oblivion nest pas à labri de nombreux ralentissements, de bugs (empêchant par exemple davancer dans une quête) ou de défauts de traduction, il nen reste pas moins LE jeu de rôle du moment, et ce pour un bout de temps. Une telle richesse (allez lire les quelques 400 livres du jeu pour exemple) est bien rare de nos jours dans les jeux-vidéo ! Cest bien le genre de jeu auquel on jouera encore dans plusieurs années, cest moi qui vous ldis

NeMuL_

Oblivion aurait mérité une meilleure note si les combats n'étaient pas si pourris. Pour le reste chapeau !

Bon jeu de role avec une grande variete, le meilleur de la série "elder scroll" et pour tous ceux qui ont le xbox live il y a beaucoup de nouvelles quetes, cest vraiment magnifique comme jeu.

ce jeu est vraiment exellent, un fps du moyen age c'est bien trouver.Toutefois si on a pas le Xbox live on oeut s'ennuyer si on recommence.

Ce jeu est génial , les graphiques sont géniaux , les joueurs ne sont pas obliger de faire la quête principal , en choisi ce que l'on veut être , possède quelque "bug" mais tres mineur ce qui on fait un excelent jeu.

Le jeu est vaste et graphiquement correct. C’est un jeu assez long avec une difficulté assez corsée. J’ai pu le terminer mais à partir d’un moment, j’ai dû tricher pour avoir de l’argent en quantité infinie, par ce que les aller et retour pour vendre et acheter, ça devenait chiant. Le jeu est sympa, beaucoup d’heures de jeu en perspective.

Mon premier Elder Scrolls :) j'en suis tomber amoureu depuis ^^